Pintura como renúncia, ato falho, surto. Ou: questões.

• Ano de defesa: 2019
• Autor(a) principal: Mello, Adriano Melhem de
• Orientador(a): Santos, Roberto Corrêa dos
• Banca de defesa: Borba, Maria Antonieta Jordão de Oliveira , Victorio Filho, Aldo
• Tipo de documento: Dissertação
• Tipo de acesso: Acesso aberto
• Idioma: por
• Instituição de defesa: Universidade do Estado do Rio de Janeiro
• Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Artes
• Departamento: Centro de Educação e Humanidades::Instituto de Artes
• País: Brasil
• Palavras-chave em Português: Pintura; Atravessar a fantasia; Ato; Passagem ao; Pintura moderna Séc. XXI; Livros de artistas; Ato (Filosofia)
• Área do conhecimento CNPq: LINGUISTICA, LETRAS E ARTES::ARTES::ARTES PLASTICAS
• Link de acesso: http://www.bdtd.uerj.br/handle/1/16703

Dans cette œuvre, la peinture se situe par rapport à l'acte. La peinture est pour l'acte, tout comme la performance et l'art conceptuel sont pour l'action. Tout comme la peinture est sur le point de passer par la fantaisie, l'art conceptuel est prêt à une fausse transgression. L'action est une action politique, pas un acte. Mais paradoxalement, l'acte est révolutionnaire et l'action ne l'est pas. L'acte est traité à la lumière de deux auteurs, pas d'artistes, Lacan et Zizek. Sans vouloir arriver à un résultat théorique, au contraire, l'œuvre vise à libérer la peinture d'un certain champ théorique. A savoir, le champ théorique «post-moderne», sans pour autant vouloir tomber dans le passadisme. Cependant, sans vouloir tomber dans une sorte d'excuses pour la fidélité, mais au contraire, c'est une sorte de légitimation d'une «répression» du bien et d'une «hystérie» du bien. Puisque ce bien est en fait le véritable mal. Peindre, donc, non pas comme un acte au sein d'une structure programmée, comme le langage de la parole par exemple, mais comme, au contraire, comme l'acte de parole imparfait, ou comme une suspension éthique momentanée comme une ressource paradoxale pour retourné à normalité.